La demande d’amélioration de l’aspect des cuisses et des bras est classique et régulière. Elle concerne généralement la face interne et postérieure pour les bras et la même zone au niveau de la partie haute des cuisses dans l’entrejambe.

Il peut s’agir d’excès de graisse sans excès cutané, bien accessibles par liposuccion isolée, mais il peut y avoir également un excès cutané qui doit faire alors  l’objet d’un traitement complémentaire d’exérèse.

Ces problèmes peuvent exister isolément, de façon familiale, souvent aggravés avec l’âge. Ils peuvent être assez minimes ou au contraire très importants.

C’est  surtout après les grands amaigrissements dans les suites de chirurgie bariatrique que l’on rencontre les cas les plus spectaculaires.
Les interventions proposées vont de la liposuccion isolée aux différentes techniques de lifting des cuisses ou des bras.
Une consultation spécialisée permettra de porter l’indication la plus adaptée à votre cas.

L’opération consiste à retendre la peau à la face interne et postérieure  des bras pour diminuer l’effet de ptose (chute) à ce niveau pouvant réaliser au maximum un effet « chauve-souris ».

Lorsque la peau est modérément distendue et qu’il y a surtout un excès de graisse on proposera plutôt  une liposuccion isolée qui par la rétraction cutanée qu’elle engendre peut parfois suffire, évitant ainsi les cicatrices.

Lorsque l’excès de peau est trop important, la résection cutanée est inévitable et laisse alors une cicatrice pouvant parfois être limitée à l’aisselle mais  le plus souvent placée à la face interne du bras, allant de l’aisselle à la région au-dessus du coude.

Elle dure 1h30 à 2h et comporte une hospitalisation de 24 à 72 heures, elle est pratiquée sous anesthésie générale.

Des soins infirmiers à domicile sont prescrits jusqu’à cicatrisation complète (15 à 21 jours) et une contention (vêtement spécial ou bandes de contention) doit être appliquée pendant  1 mois.

Elles sont marquées par des œdèmes et des ecchymoses des zones opérées qui s’atténuent avec le temps mais peuvent persister plusieurs semaines. Les douleurs sont accessibles à des antalgiques classiques et sont en général limitées aux premiers jours post-opératoires.

La reprise d’activités de la vie courante est possible après 15 à 20 jours, en évitant toutefois les efforts trop violents sollicitant les bras pendant 30 à 45 jours.

Le résultat est appréciable après 6 semaines d’évolution mais n’aura son aspect définitif qu’après stabilisation de l’aspect des cicatrices c'est-à-dire 1 an au moins.

Les risques existent comme lors de toute intervention :

- risque anesthésique.

- risque thrombo-embolique (phlébite et/ou embolie pulmonaire), plus rares ici que lors d’un lifting des cuisses.

- risque hémorragique, risque d’épanchements.

- risque infectieux.

- risque cicatriciel avec des cicatrices qui peuvent parfois être hypertrophiques (rouges et en relief) voire chéloïdiennes (aspect pathologique des cicatrices qui sont très gonflées et violacées).

- imperfections de résultat, liée à la mauvaise élasticité cutanée sur certains terrains, avec aspect de « vagues » ou d’irrégularités après une liposuccion de cette zone.

L’opération consiste à  améliorer la zone de la face interne du haut des cuisses.

Lorsque l’excès n’est que graisseux une liposuccion peut suffire et donne généralement de bons résultats.

Lorsque l’excès cutané est trop important, un lifting de la face interne des cuisses est  nécessaire. Il consiste à retendre la peau de cette région, le plus souvent  après une liposuccion en retirant les excès cutanés et en redrapant la peau résiduelle. Les cicatrices sont alors placées dans l’aine et parfois à la face interne de la cuisse en descendant jusqu’au tiers inférieur de la cuisse au-dessus du genou.

Elle dure 1h30 à 2h et comporte une hospitalisation de 24 à 72 heures, elle est pratiquée sous anesthésie générale.

Des soins infirmiers à domicile sont prescrits jusqu’à cicatrisation complète (15 à 21 jours) et une contention (vêtement spécial ou bandes de contention) doit être appliquée pendant 1 mois.

Les suites sont marquées par des œdèmes et des ecchymoses des zones opérées qui s’atténuent avec le temps mais peuvent persister plusieurs semaines. Les douleurs sont accessibles à des antalgiques classiques et sont en général limitées aux premiers jours post-opératoires.

La reprise d’activités de la vie courante est possible après 15 à 20 jours, en évitant toutefois les efforts trop violents sollicitant les cuisses pendant 30 à 45 jours.

Le résultat est appréciable après 6 semaines d’évolution mais n’aura son aspect définitif qu’après stabilisation de l’aspect des cicatrices c'est-à-dire 1 an au moins.

Les risques existent comme lors de toute intervention :

- risque anesthésique.

- risque thrombo-embolique (phlébite et/ou embolie pulmonaire)

- risque hémorragique, risque d’épanchements.

- risque infectieux.

- risque cicatriciel avec des cicatrices qui peuvent parfois être hypertrophiques (rouges et en relief) voire chéloïdiennes (aspect pathologique des cicatrices qui sont très gonflées et violacées).

- imperfections de résultat, liée à la mauvaise élasticité cutanée sur certains terrains, avec aspect de « vagues » ou d’irrégularités après une liposuccion de cette zone.